Elle arrive en trombe à la pompe à essence de l'hypermarché Cora Bruay ce mercredi 26 septembre alors qu'il est environ 18h27. Un peu comme une folle. Je veux parler d'une Saxo rouge, originaire du 24. À son bord, trois passagers. Deux hommes, une femme.
Puis des cris, des cris de bête. Elle commence à s'exciter, à vouloir montrer qu'elle ressent du plaisir. En fait, elle simule, comme dans un doublage de film porno. Je veux parler de la conductrice.
On ne sait pas dire comment c'est arrivé, ni pourquoi. Mais le fait de mettre de l'essence dans son réservoir a dû la mettre dans cet état. Et cette fille conduit très mal, pour dire vrai. Sur la route, sans doute un vrai danger.
Entre la pompe à essence et la caisse, la voiture a dû être poussée à mains nues pour je ne sais quelle raison. Puis, avant de payer, à nouveau des cris de bête. Rien de plus basique.
"Soulève-moi bien haut !", gémit-elle, toutes fenêtres ouvertes, en regardant des clients. Les hommes du véhicule de la voiture la connaissent, ils ne réagissent même pas.
À la caisse de la pompe, l'employé semble hilare. Peut-être lui aura-t-elle glissé quelque saloperie.
Une personne de ce type aura oublié le vivre ensemble depuis bien longtemps, si toutefois on lui avait appris quelques rudiments.
Bruay n'a pas besoin de toi, va !
Elle arrive en trombe à la pompe à essence de l'hypermarché Cora Bruay ce mercredi 26 septembre alors qu'il est environ 18h27. Un peu comme une folle. Je veux parler d'une Saxo rouge, originaire du 24. À son bord, trois passagers. Deux hommes, une femme.
Puis des cris, des cris de bête. Elle commence à s'exciter, à vouloir montrer qu'elle ressent du plaisir. En fait, elle simule, comme dans un doublage de film porno. Je veux parler de la conductrice.
On ne sait pas dire comment c'est arrivé, ni pourquoi. Mais le fait de mettre de l'essence dans son réservoir a dû la mettre dans cet état. Et cette fille conduit très mal, pour dire vrai. Sur la route, sans doute un vrai danger.
Entre la pompe à essence et la caisse, la voiture a dû être poussée à mains nues pour je ne sais quelle raison. Puis, avant de payer, à nouveau des cris de bête. Rien de plus basique.
"Soulève-moi bien haut !", gémit-elle, toutes fenêtres ouvertes, en regardant des clients. Les hommes du véhicule de la voiture la connaissent, ils ne réagissent même pas.
À la caisse de la pompe, l'employé semble hilare. Peut-être lui aura-t-elle glissé quelque saloperie.
Une personne de ce type aura oublié le vivre ensemble depuis bien longtemps, si toutefois on lui avait appris quelques rudiments.
Bruay n'a pas besoin de toi, va !