En admettant que tu aies raison (ce qui est possible), l'accompagnateur n'est pas fûté : il a l'expérience, il ne doit pas réagir après coup, mais avant (quand on conduit, le maître mot, ça restequand même l'anticipation, surtout quand on voit la palanquée de débiles sur la route, suffit de lire ce site).
Si moi je suis accompagnateur, je dis à la personne qui conduit qu'elle n'est pas dans la bonne file, c'est pas grave, elle continue tout droit (ou elle tourne à droite si c'est une file pour tourner à droite), il sera toujours temps de faire demi-tour un peu plus tard, dans un rond-point par exemple, pour revenir sur ses pas et comme ça, aucune infraction.
Je ne cherche même plus à trouver des excuses à tous ces crétins qui roulent n'importe comment. Quinze ans que je suis à Lyon et il ne s'est pas écoulé une seule journée sans que je ne constate au moins une infraction (pour les voitures). Pour les motards, 100 % de ceux que je croise finissent par faire le con en 5 mn chrono. Donc plus aucune circonstance atténuante, plus d'excuse. Soit tu roules correctement, soit tu prends le bus.
Alors là, on aura tout vu.
Une gamine en conduite accompagnée. Vous lisez bien.
Elle arrive à un feu avec 2 voies. Un carrefour avec plusieurs feux devant Intermarché à Narbonne. Elle se place sur la voie de droite. Pas de clignotant. Le feu passe au vert. Vive accélération, elle coupe la route à toute la file de véhicules placés à gauche, pour se rabattre vite et violemment sur la gauche.
Quand on pense que cette petite salope est en conduite accompagnée. Vive le modèle et l'éducation des géniteurs. Un bel exemple. Et ça viendra chialer le jour où elle se foutra en l'air sur la route. Mais qui lui aura montré l'exemple. Bravo papa maman. Certains ne devraient jamais devenir parents.
Quand on débute (et encore, elle n'avais donc même pas "débuté", pas un A mais conduite accompagnée), on peut des fois mal réagir quand on ne sait pas quoi faire... Je ne pense pas que c'était "tiens je vais les niquer, hop je grille tout le monde", mais plutôt une réaction en panique"zut comment je vais faire je me suis mal placé", peut-être reprise après coup par l'accompagnateur qui n'a pas de double commande...
Enfin, on ne sait pas, il ne faut pas forcément imaginer le mal? Après je n'y étais pas c'est sûr...
Salut,
En admettant que tu aies raison (ce qui est possible), l'accompagnateur n'est pas fûté : il a l'expérience, il ne doit pas réagir après coup, mais avant (quand on conduit, le maître mot, ça restequand même l'anticipation, surtout quand on voit la palanquée de débiles sur la route, suffit de lire ce site).
Si moi je suis accompagnateur, je dis à la personne qui conduit qu'elle n'est pas dans la bonne file, c'est pas grave, elle continue tout droit (ou elle tourne à droite si c'est une file pour tourner à droite), il sera toujours temps de faire demi-tour un peu plus tard, dans un rond-point par exemple, pour revenir sur ses pas et comme ça, aucune infraction.
Je ne cherche même plus à trouver des excuses à tous ces crétins qui roulent n'importe comment. Quinze ans que je suis à Lyon et il ne s'est pas écoulé une seule journée sans que je ne constate au moins une infraction (pour les voitures). Pour les motards, 100 % de ceux que je croise finissent par faire le con en 5 mn chrono. Donc plus aucune circonstance atténuante, plus d'excuse. Soit tu roules correctement, soit tu prends le bus.