Ah, cher conducteur routier, chevalier moderne du bitume, vous voilà lancé sur l'asphalte comme un taureau dans une corrida. Votre art de la conduite pourrait presque être une danse, si ce n'était pour la grâce d'un bulldozer et la délicatesse d'un ouragan. En vous observant, on comprend vite que le code de la route est pour vous ce que la politesse est pour une mouette : un concept vaguement amusant mais totalement superflu.
Vous dépassez à droite, et parfois même vous dépassez la logique élémentaire. Vous êtes un véritable funambule de l'absurde, suspendu entre la vie et l'accident, oscillant dangereusement sans jamais perdre ce sourire béat d'inconscience. À chaque coup de klaxon, à chaque queue de poisson, c’est une symphonie de négligence que vous composez, une ode au chaos et à l'insouciance.
Les distances de sécurité ? Un luxe pour les faibles, sans doute. Vous, vous préférez jouer au jeu excitant du "pare-choc contre pare-choc", avec une précision qui ferait rougir un horloger suisse. Les limitations de vitesse ? Une simple suggestion, une douce mélodie que vous préférez ignorer pour mieux vous laisser emporter par le tempo effréné de votre folie motorisée.
Et parlons-en, de cette vitesse ! Vous filez sur les routes comme si elles vous appartenaient, ignorant royalement les limitations et autres futilités bureaucratiques. Vous êtes une comète flamboyante de ferraille, laissant dans votre sillage une traînée de peur et de consternation.
Vos collègues routiers, eux, ont la décence de respecter certaines règles, comme celle de ne pas jouer à la roulette russe avec les vies des autres usagers. Mais vous, non. Vous, vous avez un destin à accomplir, celui de prouver qu'il est possible d'être à la fois surmené et sous-éduqué en matière de sécurité routière.
Ah, cher chauffeur, vous êtes l'antithèse du bon sens, la némésis de la prudence. À chaque virage pris à la hussarde, à chaque freinage inopiné, vous nous rappelez que l'irresponsabilité n'a pas de limite quand elle est au volant d'un mastodonte sur roues. Et tandis que nous, humbles automobilistes, nous agrippons à nos volants en espérant survivre à votre passage, nous ne pouvons que vous remercier d'être le rappel vivant que parfois, l'évolution de l'espèce semble faire un pas en arrière.
En somme, cher conducteur routier, continuez ainsi et vous serez bientôt une légende... mais probablement pas pour les raisons que vous espérez.
Ah, cher conducteur routier, chevalier moderne du bitume, vous voilà lancé sur l'asphalte comme un taureau dans une corrida. Votre art de la conduite pourrait presque être une danse, si ce n'était pour la grâce d'un bulldozer et la délicatesse d'un ouragan. En vous observant, on comprend vite que le code de la route est pour vous ce que la politesse est pour une mouette : un concept vaguement amusant mais totalement superflu.
Vous dépassez à droite, et parfois même vous dépassez la logique élémentaire. Vous êtes un véritable funambule de l'absurde, suspendu entre la vie et l'accident, oscillant dangereusement sans jamais perdre ce sourire béat d'inconscience. À chaque coup de klaxon, à chaque queue de poisson, c’est une symphonie de négligence que vous composez, une ode au chaos et à l'insouciance.
Les distances de sécurité ? Un luxe pour les faibles, sans doute. Vous, vous préférez jouer au jeu excitant du "pare-choc contre pare-choc", avec une précision qui ferait rougir un horloger suisse. Les limitations de vitesse ? Une simple suggestion, une douce mélodie que vous préférez ignorer pour mieux vous laisser emporter par le tempo effréné de votre folie motorisée.
Et parlons-en, de cette vitesse ! Vous filez sur les routes comme si elles vous appartenaient, ignorant royalement les limitations et autres futilités bureaucratiques. Vous êtes une comète flamboyante de ferraille, laissant dans votre sillage une traînée de peur et de consternation.
Vos collègues routiers, eux, ont la décence de respecter certaines règles, comme celle de ne pas jouer à la roulette russe avec les vies des autres usagers. Mais vous, non. Vous, vous avez un destin à accomplir, celui de prouver qu'il est possible d'être à la fois surmené et sous-éduqué en matière de sécurité routière.
Ah, cher chauffeur, vous êtes l'antithèse du bon sens, la némésis de la prudence. À chaque virage pris à la hussarde, à chaque freinage inopiné, vous nous rappelez que l'irresponsabilité n'a pas de limite quand elle est au volant d'un mastodonte sur roues. Et tandis que nous, humbles automobilistes, nous agrippons à nos volants en espérant survivre à votre passage, nous ne pouvons que vous remercier d'être le rappel vivant que parfois, l'évolution de l'espèce semble faire un pas en arrière.
En somme, cher conducteur routier, continuez ainsi et vous serez bientôt une légende... mais probablement pas pour les raisons que vous espérez.